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Nous voici donc rendus devant notre premier rendez-vous "officiel", pris à l'avance sur internet : la Tour de Londres.
Je ne saurais que trop conseiller de suivre la visite proposée par les yeomen (les gardiens de la Tour depuis 1485) : c'est vivant, souvent drôle, plein d'anecdotes croustillantes, mais aussi bien évidemment, dans la langue de Shakespeare... malheureusement, contraints de faire de la traduction instantanée, nous nous sommes vite rendu compte que c'est un vrai métier et qu'il est difficile d'en profiter pleinement dans ces conditions.
Nous avons donc continué la visite seuls. Le lieu est splendide, pétri d'Histoire et d'histoires, souvent glauques (comme toutes les prisons).
Ce qui a passionné les enfants (et qu'on ignorait), c'est que les rois de l'époque s'offraient mutuellement des cadeaux destinés à impressionner celui qui les recevait. La grande mode étant d'offrir des animaux sauvages, féroces et vivants.
La ménagerie royale est référencée pour la première fois lors du règne d'Henri III.
En 1251, la ménagerie accueillit un ours polaire, offert par le roi de Norvège, qui perturba les Londoniens lorsqu'il allait pêcher dans la Tamise (l'ours, pas le roi !). Comme quoi, le fameux flegme anglais a tout de même ses limites.
Trois ans plus tard, le roi ordonna la construction d'un abri pour un éléphant offert par le roi de France, mais ce dernier ne survécut que deux ans en Angleterre.
Des lions ont été abrités dans la barbacane connue sous le nom de Lion Tower.
La collection royale a été étoffée par des présents diplomatiques dont trois léopards offerts par l'empereur du Saint-Empire romain germanique.
Au XVIIIe siècle, la ménagerie a été ouverte au public ; l'entrée coûtait trois pennies ou l'apport d'un chat, d'un chien ou d'un huissier pour nourrir les lions (cherchez l'intrus).
En vérité, je vous le dis : le britannique est malin et pragmatique.
Mais la Tour de Londres abrite aussi les fameux et incontournables joyaux de la couronne, dans les Waterloo Barracks.
Là, pas de chichis ni de circonvolutions : avec 2,5 millions de visiteurs par an, il faut s'attendre à une attente conséquente d'une bonne heure (avec un ressenti de deux ou trois heures, en fonction de la météo) pour accéder à la vision fugace des richesses de la regalia.
Parqués à la file indienne sur un tapis roulant, les touristes frustrés de l'interdiction de les prendre (en photo !) sous peine d'emprisonnement, défilent devant les joyaux.
Il y a eu plusieurs tentatives infructueuses de vol. En fait, le moment où ils risquent le moins est bien celui où la visite est ouverte : ils sont sous la surveillance constante de millions de touristes, improvisés gardiens, et qui paient pour ça !
je vous l'ai dit : le britannique est malin et pragmatique.
Catégorie "note boîte à miam" :
Les salées
Le pain de
poisson
Aumonières de Saint-Jacques à l'orange
Le poulet à la Brigitte
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soufflées au gruyère
L'agneau de 5 heures
Le tajine de lotte aux légumes
Les sucrées :
La bûche façon tiramisu
Les gâteaux ricotta-framboises
La bûche aux marrons glacés (une
tuerie)
La confiture de poires à ma façon
Le crousti-moelleux au
chocolat
Le famous
cheesecake
Le gâteau papillon au
chocolat glaçage aux shamallows
La tarte aux fruits
rouges de tata Christine
La charlotte aux poires qui rend fou
Les bonbons gélifiés à l'abricot
Les macarons à l'ancienne
L'atelier pâtisserie pour les petits :
Les moelleux au chocolat
Les
petits sablés
Les brioches et pains à la MAP :
La brioche qui va bien à
la MAP