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Ami visi-blogueur, tu trouveras ici 
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e quotidien d'une famille ordinaire, extraordinaire au quotidien.

 

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Designed by Laure, Astuce et Chti réunies
16 juin 2013 7 16 /06 /juin /2013 20:13

La publicité nous vante (vend) que notre organisme a besoin de sucre pour bien fonctionner. La science nous informe que nous n'avons besoin que de glucose pour pouvoir produire l’énergie physique, nerveuse ou mentale nécessaire à notre activité. La nuance n'a rien d'anodin.

 

Tout aliment peut se transformer en glucose.

 

La transformation lente des aliments en glucose est sans danger pour notre corps, car les aliments naturels contiennent les vitamines et minéraux nécessaires à leur propre assimilation. Par contre, les aliments raffinés tels que la farine blanche et le sucre blanc en sont dépourvus. Ainsi, non seulement ils autorisent une digestion trop rapide, mais imposent à l’organisme de puiser dans ses réserves les éléments manquants pour parvenir à une assimilation normale. Le foie, le pancréas et les reins sont fortement sollicités ce qui peut conduire à l’hypoglycémie (qui peut s’exprimer par de l’angoisse, de la fatigue, du stress, des cauchemars, de l’insomnie, des spasmes, des hallucinations, des phobies, de la violence, de l’agressivité, des rages de sucre, etc.), puis au diabète, à l’obésité (19% d’enfants en surpoids en France), à des altérations au niveau des artères, du foie…

 

Jusqu'avant la guerre, le sucre blanc était une denrée rare. Ensuite, sous la pression des producteurs et des industriels, sa consommation s'est accrue, jusqu'à atteindre 20 à 25 kg par an et par habitant, soit environ 60 à 70 g/jour.

 

Il y a le sucre en morceau, en poudre, à la cochenille, en gâteaux industriels, en sodas et en jus.. mais aussi en chips (!!), en plats préparés : tout est mis en oeuvre pour plaire à notre cerveau et vendre.

Son association explosive à la graisse et au sel nous fait avaler n'importe quelle substance emballée.. et même finir le paquet sans véritable nécessité. Les industriels refusent souvent d'indiquer la quantité de sucre contenu dans leurs produits. Ce sucre caché qui nous prépare dès le plus jeune âge à devenir de véritables toxicomanes.

 

Dans les années 40, on commence à écrire que c’est un aliment pour lequel l'individu développe un goût excessif et une véritable dépendance, en 1960, on prouve qu'il diminue la résistance aux maladies, en 1970, le Dr John Yudkin déclare que si seulement une petite fraction de ce qui est déjà connu au sujet des effets du sucre devait être révélée sur un quelconque additif alimentaire, il serait vite interdit. En 1980, le Dr Abram Hoffer affirme que le sucre produit une dépendance aussi grave que n'importe quelle autre drogue. Enfin, Serge Hamed a montré en 2007 que les rats préféraient l'eau sucrée à leur cocaïne quotidienne, ils titillent tous les deux les neurones de la récompense et de la motivation.


Le mieux est de s’en passer mais surtout pas de le remplacer par l’aspartame.

 

Sinon, outre le sucre des fruits, frais ou secs, les meilleurs agents sucrants sont le miel et le sucre dit « complet de canne », voire le sirop d’agave, Tous contiennent, outre le sucre, des vitamines, minéraux et autres substances qui contribuent à leur bonne assimilation.

 

En 1960, on ne parlait pas d'addiction au tabac, et on fumait dans les avions et près des nourrissons.

 

Il est tout de même ahurissant de penser que si aujourd'hui, un laboratoire pharmaceutique devait présenter l'innocent morceau de sucre que l'on connaît tous, en tant que médicament à commercialiser, il serait refoulé par l'Afssaps au motif que les effets indésirables sont trop nombreux en comparaison du bénéfice apporté.

 

Alors nous, parents, victimes ou acteurs ?

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18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 17:44

 

Historique : allaité, Théo n'a quasiment jamais été malade avant son entrée en crèche, vers un an. Depuis, il nous faisait des rhumes à répétition, voire chroniques qui, après s'être installés confortablement, dégénéraient en otites, bronchites, bronchiolites et autres amuseries  qui font aimer la vie et les mouchoirs mouillés.

On nous disait "vouzenfètpa, il fait ses défenses, c'est normal : vous en avez comme ça jusqu'à son entrée à l'école, mon pôv monsieur" (ou madame, si on s'adressait à ma bien-aimée). Dépités de voir notre lionceau perpétuellement malade, l'appendice nasal façon vuvuzela, dormant mal, et n'ayant pour unique perspective que de supporter cela jusqu'à la maternelle, nous avons écumé les homéopathes et les médecins de la région, et leur avons payé leurs vacances aux Caraïbes, sans résultat probant pour Théo et son indéboulonnable goutte au nez.

 

Tous les remèdes y sont passés, et toutes les théories ont été développées, jusqu'à la suspiscion d'allergies chroniques qui nous ont poussé à acheter de la ventoline, à changer son matelas, l'orientation de son lit, mettre ses doudous au congélateur pour éradiquer les acariens (oui, ça marche !) sans oublier les séances répétitives et traumatisantes de kiné respiratoires. Rien n'y a fait. Et les dividendes des actionnaires de la société Kleenex n'ont jamais cessé de grimper dans ce laps de temps.

 

Las et sans trop y croire, nous avons consulté un énième médecin. Dès l'entrée en matière, j'ai été saisi par sa démarche originale puisqu'il ne s'est pas intéressé à Théo, mais à son carnet de santé, avec cette réflexion permanente : "mes collègues ont soigné des symptômes, mais pas la maladie".

Je ne sais pas vous, mais moi, c'est le genre de tirade qui me sort de ma torpeur : j'adore les têtes qui dépassent, les anomaliques, les gueules cassées, bref, tout ce qui peut rendre quelque aspérité à notre monde trop lisse.

 

J'ai été servi.

 

Il m'explique que depuis une dizaine d'années, il voit se développer dans son cheptel de malades, des enfants présentant les mêmes symptômes récurrents et permanents. Après avoir évacué les pistes traditionnelles, il m'explique qu'il veut traiter mon bonhomme comme s'il était sujet au reflux gastro-oesophagien. Devant mon air étonné (on le serait à moins) il m'expose sa théorie : sans qu'il soit en mesure de le prouver, les antennes-relais téléphoniques auraient une influence non négligeable sur les jeunes sujets au niveau du plexus (qui fonctionnerait un peu comme une éponge) et qui se traduiraient de cette manière.

 

Moué... moi, je veux bien, de toute façon, au point où on en est, vu qu'on est à deux doigts de faire appel à un gourou, on peut toujours essayer.

Voilà donc notre lionceau parti pour 15 jours de traitement à l'Oméprazole, alors qu'il ne présente aucun signe de régurgitation ou de brûlure stomacale...

  

Au bout de cinq jours, le rhume a disparu.

Depuis, Théo a dû nous refaire un (tout petit) rhume, peut-être deux, mais rien de comparable : c'est fini.

Nous ne savons pas si cette théorie est correcte ou non. Nous nous bornons ici à relater des faits, en toute neutralité. Pour nous, ça s'est passé comme ça.

 

Cerise sur le gâteau : je vous invite à consulter ce site très officiel, particulièrement bien fait, qui vous indique si des antennes-relais téléphoniques sont installées à proximité de chez vous.

Pour nous, dans un rayon de moins de 2 km :

- 5 relais de radiotéléphonie ;

- 3 stations de mesure des champs ;

- 1 "autre station"... 

 

Comme rien n'est "prouvable", on dira que cela reste un simple hasard.   

 

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